Nos premières études de la surpression commencent réellement au cours des années 80 avec notre choix d’introduction en France des sismographes NOMIS qui possèdent un microphone couplé au capteur de vitesse particulaire.

Déjà en 1996, notre expérience acquise au fil des années nous permis de convaincre l’administration de conditionner le maintien de la limite à 10 mm/s pondérés dans la circulaire d’application de l’arrêté du 27/07/1994, à la mise en place d’une recommandation de valeur de surpression à ne pas dépasser (125 dBL).

Nous constatons encore fréquemment que la réduction progressive des niveaux moyens de vitesse particulaire pour lutter contre la gêne des riverains des exploitations, augmente de plus en plus les coûts d’exploitation (diminution de la charge unitaire, changement du mode d’amorçage). Et il apparait encore trop souvent que les niveaux de vibrations sont contraints inutilement alors que la gêne ne relève que de l’effet sur les structures de l’énergie libérée dans l’air par les tirs.

Car en effet le niveau de surpression aérienne a un impact réel sur les structures riveraines, donc sur la perception des êtres vivants, hommes et animaux.

Lors de tous nos contrôles des tirs sur les structures riveraines demandés par l’arrêté du 27/07/1994, nous réalisons des mesures de surpression, permettant ainsi à nos clients d’avoir une ou plusieurs valeurs repères de surpression correspondant de façon certaine à un tir.

Nos études prévisionnelles de propagation sont préférentiellement basées sur des mesures réalisées sur le site. Elles participent aux études d’impact des dossiers d’extension d’I.C.P.E. en intégrant de façon valorisante, à l’instar de la loi de propagation des vibrations du sol, les suivis effectués par les entreprises et/ou leur sous traitant en autocontrôle.

Nos démarches d’amélioration intègrent entre autres les types de construction, la topographie des lieux, les techniques de minage et le massif rocheux exploité.

- Vos riverains se plaignent-ils des tirs ?
- Vos niveaux de surpression sont-ils, parfois ou fréquemment, voisins ou supérieurs à 120 dBL ?
- Avez-vous fait des démarches d’amélioration des charges unitaires et/ou un changement d’amorçage au cours de ces derniers mois ?

Si vous avez plus de deux réponses positives à ces questions, n’hésitez pas à nous contacter pour plus d’information sur le sujet.